DCXXV

Semblable rémission en faveur de Pierre Brun de la Braule, également de la paroisse de Lezay, pour les mêmes faits1

  • B AN JJ. 113, n° 319, fol. 158
  • a P. Guérin, Archives historiques du Poitou, 21, p. 94
D'après a.


1 Le texte, au commencement et à la fin de cet acte, est exactement semblable à celui des lettres qui précèdent. Seulement les faits à la charge de Pierre Brun s’arrêtent au vol d’une jument dans la paroisse de Sompt, et le récit reprend aux poursuites commencées par le sénéchal de Poitou, Perceval de Cologne. Nous avons vu au vol. précédent (p. 200, note 1) que la mère de ce dernier se nommait Pernelle Brun ou le Brun, et qu’il était en procès, de 1383 à 1388, avec un Pierre Brun, son cousin germain, alors mineur, fils de Geoffroy Brun et de Philippe d’Avoir. Peut-être le Pierre Brun, en faveur de qui sont données les présentes lettres de rémission, appartenait-il à la même famille.