1 Le texte de
l’anoblissement d’André Ouvrart et celui de Jean Sicoteau étant
mot pour mot de même teneur que celui qui précède, en faveur de
Pierre Pourceau, y compris la date et la signature, il a paru
superflu de les répéter. Le titre suffit. Il y a cependant une
différence sur laquelle il convient d’appeler l’attention. Alors
que les lettres d’anoblissement de Pierre Pourceau indiquent le
lieu de sa résidence, dans celles d’André Ouvrart et de Jean
Sicoteau, le mot habitatore est suivi d’un blanc, nous
laissant ignorer où ils habitaient. Seule l’adresse au sénéchal
de Poitou autorise à les considérer l’un et l’autre comme
poitevins.