1 Fils de Pierre, déjà seigneur de Genoillé,
mort en 1444, dont il a été question dans notre huitième volume
(Arch. hist., t. XXIX, p. 367, note, 368) et de
Catherine Poussard, Jean Béchet, chevalier, seigneur de
Genouillé, les Landes, Ribemont, etc., vivait encore le
20 novembre 1496, date d’une donation qu’il fit à son fils
André. Il avait épousé Guyonne de Cousdun, fille de Guillaume,
seigneur des Ouches, et de Marie de Clermont, dont il eut deux
fils, Antoine, mort jeune, et André, et une fille, Françoise,
mariée à Briand Boutou, sr de la Baugisière. (Dict.
des familles de l’anc. Poitou, nouv. édit., t. I,
p. 398.)
2 Savary Girard, écuyer,
était sans doute un cousin de Joachim Girard seigneur de Bazoges
ou de Jean Girard, son fils (cf. ci-dessous la note 4). Fils
puîné ou frère de Joachim, il n’aurait pu en droit être commis à
l’administration du domaine de Ciré, litigieux entre ledit
Joachim, sr de Bazoges, et Pierre de Payré.
3 Jean Méneguy avait obtenu déjà, en
juillet 1468, des lettres d’abolition pour la part qu’il avait
prise avec Joachim de Velort, à la Ligue du Bien public
(ci-dessus n° MCCCCXLVI, p. 121.)
4 Joachim Girard ici nommé était le fils aîné de
Renaud ou Regnault, seigneur de Bazoges, qui rendit à
Charles VII, dont il était maître d’hôtel, des
services diplomatiques importants. (Cf. notre t. IX, XXXII des
Arch. hist., p. 218.) On possède moins de
renseignements sur lui que sur son père. Il était capitaine de
Moutiers-les-Maufaits pour Georges de La Trémoïlle, le 3 août
1436 (X2a 21), fut nommé, conjointement avec son père,
capitaine de Saint-Michel-en-l’Herm, le 30 novembre 1446, bailli
du grand fief d’Aunis, par lettres du 31 juillet de la même
année, et depuis conseiller et maître d’hôtel du roi.
(Beauchet-Filleau, Dict. des familles du Poitou, nouv.
édit., t. III, p. 160.) On sait aussi qu’il avait épousé
Catherine de Montbron, sœur du vicomte d’Aunay, dont il eut
quatre fils : Jean, Joachim II, Louis et Jacques, et
deux filles, et qu’il vivait encore le 24 mai 1468. A cette
date, il passa une transaction avec ses beaux-frères, François
de Montbron, vicomte d’Aunay et seigneur de Matha, Guichard de
Montbron et Savary de Montbron, archidiacre de Reims. Joachim
Girard s’y intitule chevalier, seigneur de Bazoges. (Arch. de la
Charrente-Inférieure, E., chartrier de Matha, 251.) C’était son
fils aîné Jean Girard, qui en 1472 avait repris contre Jean de
Peyré le procès touchant la possession des château, terre et
seigneurie de Ciré, et celui-ci était décédé, sans postérité,
avant le 16 mai 1481. Un aveu de cette date pour la terre et
seigneurie d’Anguitart, la terre et les moulins de Chasseneuil,
fut rendu au roi par Joachim II Girard, seigneur de
Bazoges, son frère cadet, qui épousa Jeanne, l’une des deux
filles du chancelier Pierre Doriole. (Arch. nat., P. 1145,
fol. 157 v°.)
5 Les registres du Parlement vont nous fournir quelques
renseignements précis sur cette famille au xve
siècle. Pierre Ier de Peyré, aliàs Payré,
seigneur de Ciré en Aunis, est nommé dans un acte du 27 avril
1393. (Arch. nat., X1a 40, fol. 113.) Il avait épousé
Marguerite Meschin, dont il eut au moins cinq enfants, et était
mort avant le mois de mai 1406. Sa veuve dut soutenir au
Parlement de Poitiers un procès au sujet de son douaire contre
Pierre de Peyré, chevalier, en son nom et comme tuteur de son
frère, Jacques, et de sa sœur Catherine ; on voit dans un acte
du 18 mars 1430, que Jean de Peyré, autre fils puiné de
Pierre Ier, vivait à cette date, ainsi
qu’une autre sœur plus âgée, veuve alors de Guillaume Barrabin,
chevalier, dont elle avait un fils, Jean Barrabin, écuyer.
(X1a 9190, fol. 327, acte du 23 déc. 1434 ;
X1a 9192, fol. 174, acte du 18 mars 1430.) Jean de
Peyré, qui succomba sous les coups de Jean Béchet, sr de
Genouillé, et de Louis Godelant, était le fils de
Pierre II et ne laissa point d’autres héritiers que
des sœurs, comme on le voit dans les présentes lettres de
rémission et par le procès qui eut lieu au Parlement touchant
leur mise à exécution. (Ci-dessous, p. 392, note 2.)
Pierre II était déjà en procès au Parlement de
Poitiers, le 21 juillet 1422 : 1° contre Jean de Thorigné,
auquel il réclamait le quart du manoir de la Cour-Sicart, les
trois autres appartenant à Jean Racodet ; 2° contre Joachim de
Clermont, seigneur de Surgères, parce qu’il prétendait que les
habitants d’Ardillières, sujets de ce dernier, étaient tenus de
faire le guet et de participer à la garde du château de Ciré.
(X1a 9190, fol. 187 et 190.) Le 22 août 1429, on le
trouve prisonnier à Poitiers, le registre n’en donne pas le
motif (X2a 21, fol. 114), et le 23 décembre 1430, il
présentait à la cour des lettres de caution. (Id.,
fol. 151.)
6 Il ne s’agit pas ici du lieutenant pour le roi et
gouverneur militaire de la Rochelle (alors Thierry de
Lenoncourt), mais du chef de la justice ou sénéchal, qui en
effet était aussi qualifié gouverneur. Le titulaire de cette
charge était alors Jean Mérichon, seigneur d’Huré, Lagord, le
Breuil-Bertin, Auzance près Poitiers, etc., qui en avait été
pourvu, en 1471, par Charles de France, duc de Guyenne, et
confirmé par Louis XI, à la fin de mai 1472. (Amos
Barbot, Hist. de la Rochelle, Arch. hist. de Saintonge,
t. XIV, p. 411.) Ce personnage ayant été, dans un autre de nos
volumes, l’objet d’une notice assez développée (Arch. hist.
du Poitou, t. XXXII, p. 67), nous n’y reviendrons pas
ici.
7 Ce nom est écrit ailleurs Acquez ou Acquet, et
dans un endroit des plaidoiries, et sur le registre du
Parlement, à l’occasion de l’opposition qu’il fit à
l’entérinement des présentes lettres de rémission, il est appelé
« Guillaume de Achlet, escuier » (X2a 39, date du 3 juin
1473.) « Une autre maison du Poitou, dit M. Francisque-Michel,
celle d’Acquet ou Acquez, dont le nom correspond parfaitement à
un nom bien répandu en Écosse, celui de Halket, se
croyait originaire de ce pays. Les Acquez, qui habitaient
autrefois les environs de Thouars et de Châtellerault, d’où ils
sont passés en Picardie, portaient de sable à trois paniers,
d’autres disent à trois seaux d’or. » (Les Écossais en
France, etc., in-8°, t. I, p. 270.) La nouv. édit. du
Dict. des familles de l’anc. Poitou nie l’origine
écossaise de cette maison ; d’ailleurs, la généalogie qu’elle en
donne ne remonte pas au delà de l’année 1530, et notre Guillaume
Acquelet, ou Achlet, n’y figure point. Or il est qualifié
écossais, « escoçois », en un autre endroit du registre criminel
cité ci-dessus (X2a 39 à la date du 8 avril 1473) et dans
un acte du 22 juin suivant (id., ibid.) : « escuier,
archier de la garde du corps du roy ». On connaît d’ailleurs
d’autres membres de cette famille, vivant au xve
siècle ; on peut citer notamment un accord du 11 septembre 1477,
entre Helis de Mézieux, veuve de Thomas Acquez, de Voulon,
Robert et Guichard Acquez, écuyers, ses enfants, et Jeanne du
Vergier, femme de Jean de La Brousse, écuyer, au sujet de la
possession d’un hôtel entouré de douves sis au village du
Grand-Serze, accord conclu à la suite d’un procès entre Jean
Acquez et François du Vergier. (A. Richard, Arch. du château
de la Barre, t. II, p. 433, 434.)
8 Le tuteur désigné pour
prendre les intérêts de Catherine, Marguerite et Antoinette,
filles mineures, sœurs de Jean de Peyré, fut Jean Barrabin,
écuyer, cousin germain de leur père. (Cf. ci-dessus, p. 388,
note 1.)
9 Charles de France, duc de Berry, puis de
Guyenne, Saintonge et gouvernement de la Rochelle, frère de
Louis XI, était mort le 25 mai 1472. (Cf.
ci-dessus, p. 172, note 1.)
10 Nous allons énumérer sommairement les actes
de cette cause, depuis le moment où elle fut introduite au
Parlement de Paris. Elle y apparaît pour la première fois le
8 avril 1473. Jean Girart, écuyer, seigneur de Bazoges (le
procureur général joint avec lui) y est demandeur en cas
d’excès, contre Guillaume Acquelet, écuyer, mari de
Jeanne de Peyré, et Jean Barabin, écuyer, tuteur de Catherine,
Marguerite et Annette, aliàs Antoinette de Peyré, et
demande qu’ils soient mis en défaut, parce qu’ils n’ont pas
comparu en personne ; mais ils présentent à la cour des lettres
les autorisant à être reçus par procureur. Le 25 mai suivant,
Jean Béchet, Savary Girard, écuyer, Louis Godelant et Jean
Méneguy se défendent contre Acquelet et Barrabin, plaignants, au
sujet du meurtre de Jean de Peyré. Les premiers exposent qu’ils
ont eu des lettres de rémission du duc de Guyenne, et que,
depuis qu’ils sont poursuivis en Parlement, ils se sont
présentés aux ajournements, ont été interrogés, et par
ordonnance de la cour, la ville de Paris leur a été donnée pour
prison. Ils demandent congé et provision de leur corps et de
leurs biens. Nanterre, avocat de la partie adverse, répond
qu’étant porteurs de rémission, ils doivent avant d’« estre
receuz à aucune chose dire » être envoyés en prison, « de droit,
stille et usaige notoirement gardez ceans ». Il dit en passant
que le duc de Guyenne n’avait pas pouvoir de délivrer des
lettres semblables, et que par suite ce qui a été fait ci-devant
est nul ; mais puisque Béchet et ses consors en ont obtenu, ce
même mois, d’autres expédiées par la Chancellerie royale, ils
sont tenus, s’ils veulent s’en aider, de se conformer à la
règle. Ceux-ci répliquent qu’ils ont déjà été emprisonnés à la
Rochelle, quand ils ont demandé l’entérinement des lettres du
duc de Guyenne, et qu’ils ne doivent pas l’être une seconde
fois, puisqu’il s’agit du même fait. Le substitut du procureur
général est d’avis que le gouverneur de la Rochelle, ayant
commencé à prendre connaissance du meurtre dont il est question,
c’est à lui qu’il appartient de procéder outre et qu’il est plus
qualifié que personne pour prononcer le jugement. Mais les deux
parties protestent, d’un commun accord, que la nouvelle
rémission est adressée au Parlement, et que par suite la cour
est saisie non seulement du meurtre, mais des contestations qui
en ont été cause. L’affaire est appelée de nouveau, le
1er juin, et renvoyée au jeudi 3, pour recevoir la
déclaration de Jean Béchet et consorts, s’ils veulent, oui ou
non, réclamer le bénéfice des lettres de rémission du roi. Ce
jour, leur avocat affirme leur intention de « s’en aider ceans
et ailleurs où il appartiendra ». Le 22 du même mois de juin,
nouvelle plaidoirie sur la question de l’emprisonnement
préalable ; elle est tranchée suivant l’opinion soutenue par
Nanterre, avocat des sœurs de Jean de Peyré : « Appointé est que
les impetrans desdites lettres de rémission seront emprisonnez
en la Conciergerie, et les y a fait mener la court. »
Le
13 juillet suivant, la cour eut à entendre les arguments pour et
contre l’entérinement et la mise à exécution des lettres, dont
nous publions ici le texte, ainsi que la version du beau-frère
et des sœurs de Jean de Peyré touchant la scène du meurtre et
ses causes déterminantes. « Feu messire Pierre de Peyré, en son
vivant, dit leur avocat, estoit noble chevalier, seigneur de
Ciré, de bonne et grande lignée, lequel et ses prédécesseurs ont
bien servy le roy en ses guerres, et mesmement à Montlehery
ledit feu messire Pierre servy le roy en grande et noble
compagnie et en grant dangier de sa personne, fut navré en
plusieurs parties de son corps, et y morut son frère. » L’an
1470, il trépassa, laissant un fils âgé de dix-huit à
dix-neuf ans, et quatre filles, dont la mère était
morte auparavant. Vers cette époque Jean Aubin, sr de
Malicorne, qui « avoit grant gouvernement envers le duc de
Guienne » et à l’occasion des divisions existant entre le roi et
son frère, tenait à Surgères, dont il était seigneur, une forte
garnison contre le roi, à la tête de laquelle étaient les
meurtriers de Jean de Peyré, voyant que ces enfants, privés de
père et de mère, n’étaient pas à craindre, il résolut de
s’emparer de leur terre et seigneurie de Ciré, et commença à les
accabler de vexations. Il acquit tout d’abord de Jean Girart,
fils de Joachim, certain droit qu’il prétendait sur ladite
terre, après quoi il voulut s’en mettre en possession. Jean
Barrabin étant tout disposé à venir en aide à son cousin
germain, Jean de Peyré, le sr de Malicorne ouvrit les
hostilités contre lui, et pour lui faire dommage et deplaisir
« en une course fit mettre le feu en ses terres et fermes, et y
fit faire plusieurs invasions et rançonnements ». En même temps,
il fit mettre en la main du duc de Guyenne la terre de Ciré,
sous prétexte que Jean de Peyré n’était venu au service dudit
duc, et bien qu’il en eût obtenu main levée, elle fut en butte
aux courses et déprédations de ceux de Surgères, et
particulièrement du sr de Genouillé et de Savary Girard.
Le 1er août 1471, le sr de Malicorne les envoya à
Ciré avec d’autres de sa garnison, « armez et embastonnez » ;
ils vinrent au four banal, croyant y trouver Jean de Peyré ; ils
n’y rencontrèrent que « damoiselle Jehanne », laquelle était
accompagnée seulement de son page, âgé de douze ans, et d’un
autre valet ; ils la déchevelèrent et traînèrent, battirent ceux
qui étaient avec elle, et même Jean Méneguy frappa d’un coup de
dague à l’épaule Antoine Mesgret, un autre de ses serviteurs.
Averti de cette agression, Jean de Peyré arriva sur les lieux,
sans pourpoint, ni armure, ni bâton, revêtu d’une robe longue.
Aussitôt Savary Girard le menaça de son épieu, sur lequel il mit
la main afin qu’il ne l’en frappât, mais il ne parvint pas à le
lui ôter. Savary, de son côté, tirant de toute sa force pour
dégager son arme, tomba en arrière et entraîna Jean de Peyré sur
lui. C’est alors que le sr de Genouillé tira son épée et
« par derrière en traïson en frappa Jean par la cuisse jusques
au fondement, et tournant son arme dedans la playe pour la faire
plus grande lui dit : "Villain, y t’y failloit venir !" » Peyré
se releva, mais après quelques pas il chut à terre et mourut sur
la place, au bout d’une heure, sans confession. Son meurtrier
refusa de le secourir, d’aider à étancher le sang, et montrant
son épée toute sanglante, il se vanta hautement de l’acte qu’il
venait de commettre, puis disparut. Privées de leur soutien, les
sœurs de Jean de Peyré trouvèrent asile auprès de la veuve de
Nicole Chambre, l’ancien capitaine de la garde écossaise, (elle
se nommait Catherine Chenin et demeurait à
Villeneuve-la-Comtesse) et y demeurèrent jusqu’au mariage de
Jeanne avec Guillaume Achlet, archer de la garde du corps. Jean
Barrabin obtint des lettres décrétant de prise de corps les
meurtriers de son cousin, mais personne n’osa les exécuter par
crainte du sr de Malicorne. L’avocat expose ensuite les
procédures faites à la Rochelle, déclare que la cour doit
refuser l’entérinement des lettres de rémission et demande les
peines les plus sévères contre les coupables, sans oublier la
réparation pécuniaire due aux sœurs de Jean de Peyré. Jehan
Béchet et consorts répliquèrent, le 15 juillet ; leur plaidoirie
est naturellement la paraphrase des lettres de rémission. Les
quelques autres renseignements que l’on y pourrait puiser ne
présentent que peu d’intérêt. (Arch. nat., X2a 39, reg.
non folioté, aux dates des 8 avril, 25 mai, 1er, 3 et
22 juin, 13 et 15 juillet 1473.) Nous n’avons pas trouvé d’autre
suite à cette affaire de l’entérinement de nos lettres de
rémission.
D’autre part, l’action intentée par Jean
Girard, sr de Bazoges, à Guillaume Acquelet et à Jean
Barrabin, que nous avons annoncée au début de cette note, avait
continué son cours, indépendant de l’affaire de meurtre et
d’entérinement de rémission. Le même Jean Girard, qui avait sans
doute repris du sr de Malicorne les droits qu’il lui
avait cédés, s’était plaint à la cour que, au mépris de l’arrêt
plaçant la terre et le domaine de Ciré, les port et passage du
Gué-Charreau et les cens et revenus de la Jarrie sous
l’administration de commissaires royaux. Guillaume Acquelet,
écuyer, mari de Jeanne de Peyré, et autres avaient pris et levé,
vi et violencia ac portu armorum, les fruits et
revenus desdites terres et continuaient à le faire par les mêmes
procédés, qu’ils avaient battu les commissaires nommés en vertu
de l’arrêt de la cour, et commis d’autres énormes excès et
violences. La cour, en conséquence, avait commis, par ordonnance
du 18 juin de cette même année 1473, un de ses membres, Jean
Burdelot, pour contraindre ledit Acquelet et ses complices, par
emprisonnement de leurs personnes et autres peines, à obéir à
l’arrêt en question, à rapporter les fruits et deniers indûment
levés et recueillis par eux, à évacuer le château de Ciré et à
le remettre entre les mains des commissaires chargés de
l’administrer, et de ne plus les empêcher ou troubler à l’avenir
dans l’accomplissement de leur mission. (X2a 40,
fol. 65.) Nous n’avons point trouvé non plus à qui les château,
terre et seigneurie de Ciré furent définitivement adjugés : aux
héritiers de Peyré ou au sr de Bazoges.