[p. 381]

MDCLXIX

Rémission donnée en faveur de Thomas Maynier, prévôt fermier de la vicomté d’Aunay, qui, le 20 juillet 1479, revenant d’une tournée d’informations et d’exploits avec Philippon Meslier, sergent de ladite vicomté, qui l’avait accompagné, avait frappé celui-ci mortellement à la suite d’une rixe qu’il avait provoquée.

  • B AN JJ. 209, n° 93, fol. 55
  • a P. Guérin, Archives historiques du Poitou, 41, p. 381-389
D'après a.

Loys, par la grace de Dieu roy de France. Savoir faisons à tous, presens et advenir, nous avoir reçeue l’umble supplicacion de Thomas Maynier, pouvre homme, chargé de femme et d’enfans, natif d’Aulnay le viconte en nostre pays et conté de Poictou, aaigé de xl. ans ou environ, contenant que le dimanche xxe jour de juillet mil cccc soixante dix neuf, ledit suppliant se tira par devers et aux personnes de Jehan Meslier, clerc greffier dudit lieu d’Aulnay, Phelippom Meslier son frère, et Pierre Noble, sergens pour le viconte dudit lieu, et leur dist qui leur convenoit aler avecques luy, le landemain grant matin, qui estoit le lundi ensuivant, ou lieu de Charbonnieres pour illec faire certaines informacions et execucions à l’encontre de aucunes personnes selon le contenu des roolles, deffaulx et amendes dudit suppliant, car en ladicte année il estoit prevost fermier de ladicte viconté d’Aulnay. Et dist ausdiz sergens icelluy suppliant qu’il leur convenoit passer au lieu de Grant Fief, pour ce que la femme de maistre [p. 382] Bertrand Brun, dame dudit Grand Fief, luy avoit mandé qu’il allast parler à elle. Lesquelz Phelippom Meslier et Pierre Noble, sergens dessusdiz, respondirent qu’ils estoient contens d’aler avec luy ; aussi fist ledit greffier, mais qu’il luy convenoit premier aller aux Touches de Perigny, en disant qu’il se leveroit de si grant matin qu’il seroit à heure de disner audit lieu de Charbonnières et que ledit suppliant fist bien appareiller à disner ; et ce pendant fist diligence de trouver les tesmoings qu’il entendoit faire examiner. Et le lundi, qui estoit le landemain, ledit suppliant s’en alla du grant matin oyr messe à Nostre Dame des Carmes et luy, oye messe, se rendit à son hostel ; aussi fist ledit Noble, et attendirent illec ensemble grant piece ledit Phelippon Meslier, pensant qu’il fust allé à la messe à l’église parrochialle, pour ce qu’ilz ne l’avoient veu à celle de Nostre Dame des Carmes. Et voyant ledit suppliant que ledit Phelippon Meslier ne venoit point, il l’envoya querir par deux foiz et tant que ledit Phelippom Meslier luy manda qu’ils s’en allassent devant, et qu’il luy convenoit pensser la jambe de Pierre Charpentier, procureur dudit lieu d’Aulnay, premier que partir. Et alors voyans par ledit suppliant la response dudit Phelippom, luy et ledit Noble se mirent à chemin pour aler audit lieu de Charbonnières. Et quand il furent entre le Brueil et ledit lieu de Charbonnières, ils virent une mulle dedans les avoynes de Estienne Godet, laquelle mulle qui appartenoit à ung appelé Jehan Nault de Limosin, dudit lieu de Charbonnières, ledit suppliant fist prendre par ledit Pierre le Noble sergent dudit lieu, et la fist amener en prison en l’ostel dudit Limosin, comme ceulx qui ne savoient pas qu’elle fust sienne et la bailla ledit sergent en garde, soubz la main dudit viconte, à la fille ou bruz dudit Limosin, laquelle leur dist que ladicte mulle estoit leur, et à laquelle ledit suppliant respondy qu’elle estoit mieulx tenue de la garder. Et ce fait, lesdiz suppliant et Noble s’en allèrent [p. 383] audit lieu de Grand Fief où illec ilz desjeunèrent, et se plaingny ladicte dame dudit Grand Fief audit suppliant, comme prévost fermier dessus dit, de aucuns qui luy couppoient et robboient ses boys. Et ainsi que ledit suppliant et Noble estoient à table desjunant, comme dit est, survint ledit Phelippom Meslier, ayant une espée soubz son braz, lequel leur dist telles parolles ou semblables en effect et substance : « Y sont ilz ou ils n’y sont pas ? » A quel propoz il le disoit ne scet ledit suppliant. Et, en ce faisant, ladicte dame dudit Grant Fief lui dist qu’il se mist à table et qu’il desjunast avec ledit suppliant et Noble, ce qu’il fist. Et après ce qu’ilz eurent prins leur reffection, prindrent congié de ladicte dame dudit Grant Fief et s’en allèrent tous troys ensemble audit lieu de Charbonnières, en l’ostel d’un appelé Michel Regnault, et dist ledit suppliant à l’ostesse qu’elle leur appareillast à disner et qu’elle leur mist des poullez, si elle en avoit. Laquelle luy dist qu’elle n’en avoit point, mais qu’elle avoit bien ung aigneau. Et lors ledit suppliant lui dist qu’elle en mist la moictié au feu ; en disant oultre par ledit suppliant audit Phelippom qu’il allast veoir par le villaige s’il trouveroint point de poullez à vendre, pour l’amour dudit greffier, son frère, qui devoit venir, comme dit est. Lequel Phelippon fist semblant d’aler oudit village sercher desdiz poulez ; mais il n’y ala point, ainsi que disoit ladicte hostesse, ains en tua ung de ceulx de ladicte hostesse, comme elle disoit en soy courossant très fort contre ledit Phelippom, et tant que ledit suppliant, qui dormoit sur une arche, se reveilla du bruit que ladicte hostesse faisoit, et demanda que c’estoit. Et ladicte hostesse luy dist et respondy que ledit Phelippom avoit tué une de ses poulles et se doubtoit bien qu’il en eust tué plus largement. Et lequel suppliant dist à ladicte hostesse qu’elle ne criast plus et que ledit Phelippom la paieroit bien, et sur ce ladicte hostesse se apaisa. Et après ce, lesdiz suppliant, Noble et Phelippom, et aussi Colin Porret, sergent [p. 384] dudit lieu qui la estoit survenu, attendirent grant piece ledit greffier pour veoir s’il viendroit ou non ; lequel ne vint point. Et ilz voyans qu’il ne venoit point et qu’il estoit comme sur le passement de mydy, ledit suppliant dist à la dicte hostesse que elle mist la nappe ; laquelle mise, se mirent à table ledit suppliant, Colin Porret, Pierre Noble et Loys Nault, prebstre, frère dudit Nault à qui estoit ladicte mulle ; et ledit Phelippom Meslier estoit lors alé oudit villaige et ne vint jusques à ce qu’ilz eurent presque à demy disné, et luy avoit l’en fait sa souppe, dont il ne voult menger, mais en fist faire d’autre en ung plat. Et quant les dessus diz eurent disné et que ledit suppliant eut conté à lostesse, ledit Loys Nault, prebstre, dist audit suppliant qu’il paieroit le disner, en lui requerant qui lui pleust donner l’amende de ladicte mulle à son dit frère. Lequel suppliant dist lors qu’il n’en feroit riens. A quoy les dessus diz sergens, Porret et Phelippom et Noble, luy dirent qu’il luy devoit donner, parce que c’estoient les hommes qui plus faisoient de biens aux officiers d’Aulnay que nulz autres de la viconté. Et ledit suppliant leur respondy qu’il estoit content, mais que unes foiz il auroit cinq soulz en sa main et qu’il avoit serement pour aucuns debatz que luy avoit fait le nepveu dudit prestre, mais qu’il feroit bien qu’il seroit content de luy. Et alors ledit prebstre gecta devant ledit suppliant dix onzains, comme celluy qui se pensoit que ledit suppliant ne luy en voulsist rien donner. Et ledit suppliant print lesdiz onzains et les bailla audit prestre et luy dist qu’il payast ledit escot et ledit Noble, sergent dessus dit, de la prinse qu’il avoit faicte de ladicte mulle ; lequel sergent dist lors qu’il n’en demandoit riens, pour l’amour dudit prestre, qui paya lors ledit escot à ladicte hostesse. Combien il y avoit en ladicte somme n’est recors ledit suppliant.

Et incontinant ladite hostesse payée, ledit Porret monta à cheval et dist qu’il s’en allait besoigner pour les besoignes [p. 385] de la vicontesse1 ; car le viconte n’estoit pas pour lors au pays. Et si toust qu’il fut party, lesdiz suppliant, Phelippom et Noble se misdrent à chemin pour eulx en aler audit lieu d’Aulnay tous troys ensemble, et ledit Loys Nault les conduisit jusques oultre le ponthoreau dudit lieu de Charbonnières et print congié d’eulx et ledit suppliant noble et Phelippom entreprindrent entre eulx qu’ilz passeroient par le villaige du Brueil ; et quant ilz furent au carrefour qui tourne pour aller dudit lieu de Charbonnières audit lieu d’Aulnay et audit lieu du Brueil, ledit Noble dist audit suppliant qui estoit devant luy, telz motz ou semblables en effect et substance : « Monsieur le Prevost, vous me devez douze deniers de la prinse de la mulle. » Lequel suppliant luy respondy qu’il ne luy devoit riens et qui les avoit donnez au dessus dit Loys Nault, prebstre. Et sur ce, ledit Phelippom Mestier, voulant entreprendre la parolle et noyse contre ledit suppliant, dist oultragement audit suppliant telles parolles en effect et substance : « Vous luy devez sa prinse de par le dyable ? » Auquel respondy ledit suppliant telz motz ou semblables : « Je croy que vous estes foulx ou yvres tous deux ! Vous savez bien que vous m’avez fait donner mon amende à messire Loys Nault, et aussi vous, Noble, lui avez donné vostre prinse. » Lequel Phelippom respondy et dist de rechief oultrageusement audit suppliant : « Nous ne sommes foulx ne yvres. Mais vous ne voulez jamays payer chose que vous devez. » Et lors ledit suppliant luy respondy qui ne lui devoit riens ou que, s’il luy devoit, que c’estoit bien pou de chose. Et ledit Phelippom luy dist que si faisoit cinq ou six journées pour avoir esté avec luy prendre une femme, laquelle il avoir fait [p. 386] exécuter. Lequel suppliant dist audit Phelippom qu’il s’en estoit bien payé et qu’il en avoit eu ung sac où il y avoit une nappe et pluseurs autres bagues, et aussi qu’il avoit prins de deux houmes des Oulmes ou de la Bournaire, pour leurs chevaulx et jumens qu’il avoit prins en meffect, de chacun d’eulx, deux onzains ainsi qu’on avoit dit et rapporté audit suppliant. Et en ce disant, ledit Phelippom, plain de mauvays et felon couraige, tira son espée du fourreau et en frappa du plat ledit suppliant tel coup par la teste, sur l’ouye du cousté senestre qu’il l’estourdit et en tumba à terre, et luy fist cheoir dehors de la teste son chappeau et bonnet et luy bailla ung tel coup que ladicte espée ploya dudit cop. Lequel suppliant ainsi tombé à terre se leva après au mieulx qu’il peut et amassa son chappeau et bonnet et en soy levant trouva une pierre grosse comme le pain d’un denier ou environ, laquelle il gecta vers ledit Phelippom ; mais ne scet s’il luy attaigny ou non. Et lors ledit Phelippom, non content de ce, mais en perseverant tousjours en son maulvays vouloir, se efforça de rechief de frapper ledit suppliant d’estoc de ladicte espée. A quoy il failly, parce que icellui suppliant se evada et sailly hors du chemin et dist audit Noble, qui est sergent comme dit est, qu’il prensist ledit Phelippom. Mais tout ce non obstant, icelluy Phelippom de rechief et perseverant tousjours de pis en pis et tendant à tuer et meurtrir ledit suppliant, haulsa de rechief son espée, dont il se efforça donner sur la teste dudit suppliant, en jurant et blasphemant le nom de Dieu qu’il le tueroit, et ne mourroit d’autres mains que des syennes. Et lors ledit Noble dist audit Phelippom que il en avoit ja trop fait et que la vicontesse et le procureur dudit Aulnay n’en seroient pas contens. A quoy ledit Phelippom respondy et dist audit Noble telles parolles : « Je scay bien que le procureur m’en a dit, et quant je luy ay pencé sa jambe. Par la terre Dieu ! Quant je l’auroye tué, je ne m’en lairroye ja à aller soupper à ma maison », en [p. 387] venant de rechief et d’abondant contre ledit suppliant à toute l’espée nue, luy voulant tousjours donner sur la teste. Et lors ledit suppliant, voyant la cruaulté, malice et mauvays courage dudit Phelippom qui s’efforçoit de le tuer, tira une petite espée de Castille qu’il avoit soubz sa robbe, qui estoit dessaincte, de laquelle il rabaty le coup que ledit Phelippom lui vouloit donner, et en icellui rabatant, gecta en travers sadicte espée, de laquelle il ataigny icellui Phelippom au travers de la bouche et luy fendy les deux joues. Et lors ledit Phelippom, soy sentant blecié, retourna de grant force contre ledit suppliant o toute sadicte espée nue, soy efforçant de tousjours luy en fendre la teste. Et ledit suppliant, en gardant que le coup ne tumbast sur luy, gecta ung revers en montant et rencontra la main dudit Phelippom, de quoy il tenoit l’espée et luy couppa dudit cop les troys doiz et tellement que ladicte espée luy tumba à terre ; laquelle print lors ledit Pierre Noble. Et non contans de ce, icelluy Phelippom, voyant qu’il n’avoit point de baston, se recula et en reculant tumba à terre, et en ce faisant se efforça de amasser des pierres et menassant tousjours ledit suppliant de le tuer. Lequel suppliant, comme celluy qui estoit moult esmeu pour les coups que luy avoit donné ledit Phelippom et menasses qu’il luy faisoit de le tuer, donna à icelluy Phelippom, par chaulde colle et sang esmeu de sadicte espée deux ou troys coups sur les braz ou sur la teste, et n’est pas bonnement recors où. Et ce fait le laissa et alla audit Noble qui avoit l’espée d’icellui Phelippom doubtant qu’il voulsit estre contre luy, pour ce qu’il n’avoit voulu prendre icelluy Phelippom, à la requeste dudit suppliant, quelque requeste qu’il luy en eust fait, et auquel ledit suppliant dist qu’il luy baillast ladicte espée, dont il fist grant reffus de premiere face. Mais luy voyant que ledit suppliant estoit fort esmeu, la luy bailla. Et lors ledit suppliant mist le pié senestre dessus icelle espée, la [p. 388] voulant rompre, mais il ne peut, ains la ploya seulement. Et ledit Phelippom dist lors audit suppliant : « Traytre, paillart, comment me amenderas tu ce que m’as fait ? Regarde, tu m’as osté les troys doiz de la main ! » en lui monstrant sa main ; de laquelle main n’avoit entier que le pousse et le doy d’amprès. Lequel suppliant, voyant ledit Phelippom ainsi navré, fut fort esbay et regarda alentour de luy et vit une herbe appelée nyssolée et en cuillit et en frota entre ses mains et la voult bailler audit Noble et luy dist qui la mist sur les playes dudit Phelippom. Lequel Noble lui respondit qu’il n’y mettroit jà la main. Et alors ledit suppliant dist audit Noble, ainsi qu’ilz aloient tous troys ensemble, qu’il appellast les fauscheus et faneurs qui la estoient près, pour luy venir ayder à le pensser. Et dist en oultre ledit suppliant audit Noble qu’il dist à sa femme qu’elle ostast sa boete, pour ce qu’il y avoit des cedules signées du viconte et de la vicontesse dudit Aulnay et de leur procureur, tant des affaires qu’il avoit eu oudit viconte que de ladicte prevosté et qu’il luy dist qu’il n’yroit point audre Aulnay jusques à ce qu’il sceust que ledit Phelippom fust guery, et que pour Dieu on fist bien pensser de lui. Et ce dit, s’en alla ledit suppliant hors dudit pays et conté de Poictou. Et neantmoins, au moyen desdiz coups ainsi par ledit suppliant baillez, en son corps deffendant, audit Phelippom, icellui Phelippom, par le moyen d’iceulx ou par deffault de bon pencement et gouvernement, ala, le landemain, comme l’en dit après, de vie à trespas. Pour occasion duquel cas ainsi advenu que dit est, ledit suppliant, doubtant rigueur de justice, s’est absenté dudit pays, ouquel il n’oseroit ne ailleurs en nostre royaume, seurement resider et converser, se noz grace et misericorde ne luy estoient sur ce prealablement imparties, en nous humblement requerant que, attendu les choses dessus dictes et que ledit suppliant ne fust aucunement premier agresseur, mais le fut ledit deffunct non pas par une foiz mais par plusieurs, [p. 389] tendant à tousjours navrer et murtrir ledit suppliant, lequel a esté toujours de bonne vie, renommée et honneste conversacion, etc., il nous plaise sur ce lui impartir nosdictes grace et misericorde. Pour ce est-il, etc., audit suppliant avons remis, etc. Si donnons en mandement au seneschal de Poictou et à tous, etc. Donné à Bonne Aventure, prez Chinon, ou moys de decembre l’an de grace mil cccc, iiiixx et de nostre règne le vingtiesme.

Ainsi signé : Par le roy, le sire de Saint Florentin2, maistre Jehan de la Vacquerie3, president, Jehan Chambon, Charles de Pontaulx4 et autres presens. J. Duban. — Visa. Contentor.


1 Jeanne de Vendôme, fille unique de Pierre de Vendôme, chevalier, seigneur de Segré, et de Marie d’Acigné, avait épousé vers 1440, étant veuve de Robert, seigneur de Fontaines, François II de Montbron, vicomte d’Aunay, baron de Maulévrier et de Matha, sur lequel cf. ci-dessus, p. 99, note.

2 Jean Wisse de Gerbéviller bailli d’Allemagne, reçut, après la mort de Jacques d’Armagnac, les seigneuries de Saint-Florentin et d’Ervy-le-Châtel (Mandrot, Jacques d’Armagnac, extrait de la Revue historique, 1890, p. 111) qui avaient fait partie du duché de Nemours, lors de sa constitution définitive au profit de Charles III de Navarre, en 1407. (Arch. nat., P. 139, fol. XIV.) [L.C.]

3 Jean de la Vacquerie, chevalier, alors président à mortier au Parlement de Paris. (Cf. ci-dessus, p. 316 note.)

4 Charles des Potots fils de Léonard, maître des requêtes de l’hôtel, originaire de Franche-Comté, nommé en 1480 conseiller lai au Parlement de Dijon et maître des requêtes ordinaires, le 12 août 1482, tant par la résignation de son père que par le décès de Georges Havart, sr de la Rozière. Il mourut en 1522. (Blanchard, Les généalogies des maistres des requestes, 1670 in-fol. p. 214.)